La mort comme amie

Voici la traduction d’un passage du livre de Bert Hellinger « Mitte und Mass » (le centre et la mesure ou la doctrine du milieu de Confucius) où il conseille aux thérapeutes de visualiser la mort d’un client. Voici une photo du Bouddha au grain de riz par jour, peu avant son illumination.

Bert Hellinger : au groupe. Un thérapeute qui a peur de la mort ne peut pas aider. Celui qui a peur de voir la mort dans les yeux ne peut pas aider.

Je fais quelquefois un exercice pour moi, quand je suis avec un patient, à propos duquel il est question de vie et de mort et avec lequel je ne sais pas comment avancer. Alors je me représente la mort en face de ce patient, au loin, et j’attends qu’elle me donne une information. Elle le fait quelquefois et je peux alors aider le patient. Je suis à l’unisson avec sa mort.

À une participante qui veut faire une objection : regarde la patiente, puis regarde ensuite l’autre. C’est vraiment important. Souvent une objection vient et elle paraît justifiée. Quand j’ai une telle objection, alors je regarde le patient et je teste : est-ce que ça l’aide, est-ce que cela le nourrit, est-ce que cela le renforce ce que cela l’affaiblit ?

Si vous avez des remarques, laissez-moi un commentaire.

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