La stratégie de la tension d’Emmanuel Macron

J’ai voulu explorer le phénomène de la grève et du mouvement des gilets jaunes avec une constellation familiale.

En conclusion, l’objectif est de donner plus de pouvoir à la police.

Les personnages

Nous avons sélectionné : la France, un fonctionnaire, un retraité, la grève, les gilets jaunes et les black blocs d’un côté et de l’autre Macron, le budget et la BAC.

Le placement initial

La France se place spontanément en face de la fenêtre, ce qui montre qu’elle ne va pas bien. Et elle s’allonge au sol !

La représentante de la grève veut la sauver. Elle s’approche et la France se lève. Ainsi, la grève amène de la vie et agit pour le bien de la France.

Macron vient sur une chaise pour surveiller la France et la grève. Le représentant du budget vient à sa gauche. Il considère le budget comme du « bullshit ». La France trouve Macron ridicule.

Un fonctionnaire se place derrière Macron, tout en tenant une main de la France et le cheminot vient à côté de la grève qui tient toujours la main de la France. En face du budget, il aimerait en « avoir plus », sûrement sans travailler plus…

Voici le placement initial où les personnes reliées par un trait se tiennent la main, sûrement la solidarité nationale :

Le « black bloc » veut passer entre la France et la grève qui n’en veulent pas tous les deux. Il fait alors le tour pour pouvoir rentrer dans l’arène, à la droite du gilet jaune. Comme le note le cheminot, il voulait « briser le mouvement ». Il se place finalement en face de la France.

La BAC arrive, s’appuie sur Macron et se met au centre. En lui faisant dire :

Je suis flic et je tape fort, c’est ce que tu veux ?

Macron approuve et le policier demande à être payé plus. Quand je demande à son représentant ce qu’il cherche, il me répond « à être vu », comme tout bon fils à maman qui nous envoie dans le mur. Quand je place son père derrière lui, il n’a pas autant besoin d’être vu. Et en « tapant » sur les retraités, il n’honore pas ses aînés.

En conclusion : vers l’état policier

Sous prétexte de combattre la violence, Macron met en place un état répressif policier. Les lois « scélérates » sont une excuse pour emprisonner des citoyens préventivement. Emmanuel Todd a déclaré que des policiers provocateurs étaient à la place de l’étoile lors de la destruction de l’arc de triomphe.

Pour aller plus loin

Quelques réflexions stratégiques :

Si vous avez des remarques, laissez-moi un commentaire.

4 réflexions au sujet de “La stratégie de la tension d’Emmanuel Macron”

  1. bonjour

    bonne initiative .. merci !
    j’en viens aux mêmes résultats en sentant les énergies du collectif
    mais le plus important c’est de trouver des clés de guérison des processus de résiliences

    là vous faites un « état des lieux »

    de plus, je suis étonnée de ne pas voir un représentant de l’oligarchie capitaliste un Rothschild un représentant de la finance .. y a un agent absent pour moi ..

    bien cordialement

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  2. @Isabelle Boutersky

    Bonjour,
    C’était très explicite dans l’attitude de Macron lors de la constellation, il a exprimé que cette réforme n’était pas en lien avec le budget et qu’il se sentait puissant grâce à d’autres personnes (on peut raisonnablement penser à l’oligarchie que vous mentionnez dans votre commentaire)

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