Avez-vous un frère ou une soeur mort ?

Si tel est votre cas, cet événement peut avoir des conséquences très importantes sur votre comportement. La dynamique liée à cet événement dramatique dépendra du sexe de la personne morte et du vôtre. Ici, nous prenons en compte les fausses couches, les avortements, les morts-nés, ceux qui sont morts jeunes ou… moins jeunes.

Dans tous les cas

Vous pouvez avoir du mal à vous endormir, car vous avez peur de dormir auprès des morts et vous confondez mourir et dormir, comme Hamlet. Vous pouvez fumer ou boire inconsciemment  à la santé du mort. Vous pouvez manger pour deux et dévorer des têtes de veau…

Voici les 2 dynamiques…

Si vous avez le même sexe que le mort…

Nous avons 2 cas : la personne est morte avant ou après vous…

  • Si elle est morte avant vous, votre rang change. Au lieu d’être le premier, comme vous l’avez toujours cru, vous êtes le deuxième et, si vous vous prenez pour le premier, vous prenez la place d’un mort. Dans ce cas, vous aurez tendance à vouloir inconsciemment mourir, avoir des accidents de voiture, de moto, de ne pas avoir envie de manger… pour rejoindre la personne morte. C’était le cas de Jung, dont le frère mort s’appelait Paul et devait sûrement représenter son archétype de l’ombre. Carl Jung était suicidaire, passait des moments de son enfance au dessus d’un torrent, fasciné par la mort. Il fumait le cigare et a eu une crise cardiaque, reflétant sa peine de coeur.
  • Si elle est morte après vous, votre rang reste le même. La dynamique est moins forte, mais cet être vous manque et vous pensez à lui inconsciemment. S’il est juste derrière, vous pouvez manger pour deux. Vous pouvez toujours fumer, comme précédemment ou souffrir, pour rétablir un équilibre. Dites-vous : « J’ose être vivant alors qu’il est mort ». Une tendance à expier peut survenir. Ce fut le cas de Freud, qui a eu un frère mort après lui.

Dans les 2 cas, vous pouvez vouloir vivre pour deux. Jung avait une femme et une maîtresse. Freud vivait avec sa femme et sa soeur….

Si la personne morte est de sexe différent

 Dans ce cas, vous aurez tendance à chercher l’âme soeur.

  • Vous pouvez vous marier et avoir une relation fraternelle avec votre conjoint. Vous recherchez alors des maîtresses pour trouver l’amour charnel, comme un certain ex-président de la république qui a perdu une soeur et qui appelle sa femme « maman ».
  • Vous pouvez rechercher cette âme sœur au bout du monde et dire « j’ai trouvé mes frères de sang chez les amérindiens ou les palestiniens… » Vous les confondez avec vos vrais frères germains, utérins ou consanguins ou aller la rejoindre comme Charles Baudelaire.
  • Si la personne morte était avant vous, vous pouvez être homosexuel pour la rappeler, surtout si vos parents vous ont donné un prénom équivalent, si, par exemple vous vous appelez Karim et que la soeur morte s’appelait Karima.
  • Vous êtes en couple avec une personne morbide, qui se drogue, qui a des accidents de voiture, qui a perdu un membre de sa fratrie de même sexe qu’elle.

Il sera alors important de se retirer de cette relation morbide.

Que faire ?

L’important est de redonner sa place au mort et de reprendre la vôtre. Voici quelques solutions possibles en dehors du fait d’assister à des constellations familiales.

  • Calculez votre rang correctement. « Je suis le deuxième et je suis vivant ».
  • Dites à votre frère ou sœur mort : « je vis encore un peu et j’irai te rejoindre »
  • Changez de prénom éventuellement.

C’est pourquoi il est essentiel de demander à ses parents s’ils n’ont pas perdu d’enfants. Si c’est le cas, laissez-moi un message pour aller plus en avant.

205 réflexions au sujet de “Avez-vous un frère ou une soeur mort ?”

  1. Merci 1000 fois, j’en suis tres reconnaissant

    la premiere fois que je tombe sur un article pareil et nous sommes une famille touché par un deuil depuis notre exil

    je m »informerai davantage car les psy coutent cher

    merci

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  2. Bonsoir , j’aimerai quelques renseignements sur ce qui a été dis plus haut. J ‘ai sût il y a quelques année que j’aurrais dû avoir une grande soeur mais qu’il y a eu une fausse couche. Depuis deux ans je connais les détails je sais que ma mère enceinte de quelques mois à fait une chute dans les escaliers et à perdu sa première petite filles je ne sais pas à combiens de mois ni si elle l’a nommée. Alors la question que je me pose et comment un être que nous n’avons jamais renconté et dont on ne connais pas l’éxistence pendant une grande pèriode peut – elles nous manquée , et causée des troubles ? Je trouve les constellations familiales trés intéréssante mais ne vivant pas à Paris je n’aurais pas l’occasion d’y assistée, merci pour votre réponse.

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    • Cette question, comment un être que l’on a jamais rencontré peut à tel point nous influencer, m’a aussi longtemps titillé.
      – la première réponse,intellectuelle, vient peut être du fait qu’il y a plus de 10 000 ans, la sécurité sociale n’existait pas et la « vie » avait alors beaucoup plus de valeur et que nous sommes encore influencé par ces événements.
      – la deuxième est « phénoménologique ». C’est ainsi…. C’est ce que nous observons lors de constellations. Alors prenons ce phénomène en compte.
      Je pense que mon prochain article va porter sur ce sujet…. Cordialement

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  3. Bonsoir..
    Juste après ma naissance ma mère à fait le choix de se faire avorter pour des raisons qui lui incombent… Je ne connais donc pas le sexe… Pourriez vous m’éclairer sur la marché à suivre svp..
    Merci par avance
    Sand

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  4. Bonjour,
    Merci tout d’ abord pour ton partage.
    Il y a deux ans maintenant j’ai eu la vision d’un frère mort in utéro. Cela m’ été confirmé. Je ne suis pas sure que cela soit arrivé dans cette vie, mais quand j’ai dis le phrase après ton article « je suis la troisième née dans cette famille, et le second est mort » la résonnance a été immédiate, … Je ne sais trop que penser de tout cela mais merci à toi.

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    • Oui, c’est probable que ma mère ait provoqué des avortements. Je n’ai pas connu mon père, et ma mère était orpheline, alors…mais il y a quelque chose de ce côté. D’ailleurs,je vis tout le temps des situations qui n’aboutissent pas. J’en ai pris conscience et cela est déjà un pas de fait. Vis par contre sans grandes racines. C’est la vie. Ai beaucoup changé de lieux et cela continuera sans doute. Voilà. Je pense qu’à un certain âge, il est difficile de tout changer. J’essaie tout simplement d’avancer chaque jour dans la vie sans trop me poser de questions. Merci en tout cas de vos réponses.

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      • La difficulté est de se sentir à sa place. Comme tu n’as pas connu ton père, tu as peut être des frères et soeurs vivants. Comme ta mère était orpheline, tu es probablement identifiée à ta grand-mère maternelle. Tu as des enfants ?

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  5. bonjour,
    je me reconnais en partie dans la description de la recherche de l âme sœur , mais je n ai perdu ni frère ni sœur comme on le conçoit mais plutôt a l état embryonnaire et ou une seconde âme est descendue avec moi voila ce que j’en sais , par contre j ai effectivement toute ma vie cherché « l autre « qui me manquait, ( c était une fille) , j ai toujours eu des relations amoureuse très difficiles et la dernière collectionnait un grave accident de voiture et alcool plus grave pathologie mentale, mais me suis accroché en pensant qu elle était mon âme soeur,et que je devais la sauver , ce qui m a détruit. Comment me débarrasser de ce  » problème » pour que je puisse avancer dans ma vie car je stagne dans l attente de ma « moitié perdue ». J’aimerais régler ce problème et rencontrer la femme que j aimerais réellement , pouvez vous m aider?
    bien a vous.

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    • Avez-vous demandé à vos parents s’ils ont perdu des enfants (fausse couche et avortement compris) ? Sinon, venez en constellation, ce peut être un oncle ou une tante ou un être cher qui manque à un de vous parents ou grands parents.

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  6. Oui, j ai demandé a mes parents pas de fausses couches ni avortement. Par contre, il m’a été dit par deux fois qu’il y avait eu deux âmes qui étaient descendu a ma création et qu’elle (une fille) serait restée quelques temps, jusqu’à la formation du coeur avant de remonter. J’ai fait de la kinesiologie et m’a débarrassé d’un « gisant » que j’avais mais pas reglé cette obsession de la recherche de l’ame soeur qui me bloque comme si je l’attendais pour commencer ma vie,
    bien a vous.

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  7. Bonsoir,
    je suis donc Marie-Hélène,deuxième et j’ai eu une soeur morte peu de temps après sa naissance.Mes parents n’ont jamais parlé d’elle.Elle avait été baptisée et s’appelait Isabelle.J’ai appris très récemment par ma soeur aîné qu’Isabelle a été incinérée. Est-ce que tout cela pourrait expliquer ma peur du noir,mes angoisses au moindre bruit la nuit,ma peur d’être agressée pendant mon sommeil (je sens parfois une présence près de moi la nuit). A noter que je viens de divorcer et que ça m’a terriblement chamboulé ( j’ai fait un burn out en juin, procédure entamée en décembre 2012,divorce prononcé en février).
    Merci par avance pour notre réponse. 🙂

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  8. Bonjour,
    Merci pour votre article.
    Je suis née un an exactement après la mort de ma sœur (enfant née morte d’après maman).

    Je me suis longtemps considérée la deuxième (ayant un frère ainé) mais en fait je suis la troisième… et j’ai reçu son prénom (ma mère voulait un autre prénom mais mon père m’a inscrite sous le mm prénom qu’elle puisque c’était aussi le prénom de sa mère à lui -ma grand mère paternelle, vivante à cette époque là-)

    J’ai toujours été fière de mon prénom, car original et peu courant, et quelque part je pense à l’intérieur de moi, je vivais moi… je me suis longtemps sentie comme sa réincarnation… étrange non ?

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    • Fidèle… En pensant être sa réincarnation, vous l’empêcher d’être en paix. Vous pouvez faire une constellation pour vérifier si le changement de prénom est important. Bert Hellinger le conseille. Merci pour votre témoignage.

      Répondre
    • Je viens de connecter avec Victor Hugo…

      Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,
      Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.
      J’irai par la forêt, j’irai par la montagne.
      Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

      Répondre
  9. Bonjour, et mille mercis a vous pour l’aide que vous apportez. Je suis arrivée sur votre site par hasard, mais le hasard fait si bien les choses. J’arrive a un virage dans ma vie où je dois apprendre, comprendre et agir pour vivre me semble t il. J ai un ressenti des choses des personnes, des lieux …. je pense donc en perpétuelle évolution. Mais la je dois régler mon passé pour avancer. Par où commencer ? mes grands parents paternels ont perdu des freres et soeurs ainsi que des enfants. Du cote maternel ma maman a perdu sa maman tres tres jeune. Maman a perdu une soeur de maladie. A ce jour, maman et papa sont partis faire leur voyage celeste. A mon tour, maman a perdu sa 1ere fille Maryline et Jean yves un an jour pour jour avec moi. Mon mari est decede il y a 10 ans cette annee et est le meme jour et moi que ma seconde fille. Il y a 15 ans j’ai perdu un bebe a 3 mois de gestation. Voila ma vie si lourde de mort. Je veux vivre pour moi et offrir a mes 2 filles une belle vie. Merci a vous de m’avoir lu.

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    • Quel âge aviez-vous quand votre frère Jean Yves est mort ? Il semble que le plus important soit la mort de vos frères et soeurs. Avez-vous des frères et soeurs vivants ? Cordialement Michel Diviné

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      • Je vous donne les details :
        1 enfant , Maryline morte ( maman a eu la rubeole) nee a terme morte
        2 eme enfants , jean marc vivant
        3 eme enfants, aleth vivante
        4 eme enfants, sylvie moi (25.01.1967)
        5 eme enfants ,jean yves ( 25.01.1968 ) malformation cardiaque vecu 2 ou 3 jours
        6 enfants jean philippe vivant
        Maman a fait des fausses couches mais je ne sais pas ou ni quel rang .
        Pour vous repondre je devais avoir 1 an .
        Merci de votre aide .

        Répondre
        • Il semble que vous soyez liée à Jean Yves. Le mieux serait de faire des constellations familiales pour les morts que vous n’avez pas connus et de l’EMDR pour ceux que vous avez connus.

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          • C’est comme si vous recherchiez votre « âme soeur » et vous pouvez le confondre avec vos partenaires, ce qui rend la séparation très difficile.

  10. Bonjour,
    je reviens vers vous afin de vous demander de l’aide pour une petite cousine éloignée qui va très mal psychologiquement. Il s’agit d’une enfant vietnamienne adoptée qui est très mal dans sa peau depuis pas mal de temps. La situation est devenue catastrophique pour ses parents. Ils se sentent complètement démunis. Elle a une autre « soeur » vietnamienne, adoptée également, pour laquelle tout va très bien. L’adoption a eu lieu alors qu’elle était très très jeune.
    Je me demande si la clé pour l’aide ne réside pas dans les constellations familiales, je vous serais très reconnaissante si vous pouviez me guider (article, site web, adresses….). Cette enfant vit en Belgique.
    Je vous adresse par avance un très grand merci pour votre réponse.

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  11. Merci beaucoup.Nous allons donc nous pencher sur cette piste.Je suis convaincue que vous venez de me (nous) donner la clé pour dénouer le problème. Encore mille fois merci.

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  12. Bonjour,
    Cet article m’interpelle beaucoup. J’ai depuis longtemps la sensation diffuse d’avoir un grand frère. Je sais que ma mère a fait une fausse couche avant de m’avoir. Une fausse couche qu’elle ne considère pas comme telle « il s’est passsé un petit qqch ».
    Que faire ? Est-ce que ça peut avoir une incidence sur ma vie ?
    Merci
    Isabelle

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  13. Je vous remercie beaucoup, je vais regarder tout ça.
    Mais, encore une question pardon, l’EMDR peut-être être efficace même sans souvenir précis ?

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      • En fait dans mon cas, il s’agit plutôt de souvenirs étalés dans le temps.
        Y a-t-il un « ordre » à respecter ? Par exemple, faire déjà une constellation familale avant de repartir sur l’EMDR ?
        Merci infiniment pour tous vos renseignements !!

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        • Non, vous pouvez le faire en parallèle. Les traumas et les dynamiques familiales sont souvent plus « forts » que les traumas personnels. Ce sera au thérapeute de choisir, avec votre accord, les cibles en EMDR.

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  14. Bonjour, j’ai « perdu » une soeur, disparue en mer en novembre 1980, elle avait 28 ans et moi presque 31 ans. De plus, ma mère m’a dit un jour qu’avant de donner naissance à ma soeur, aurait dû naître un frère, mais elle a avorté.
    Je suis donc toujours l’aînée, mais j’ai perdu un frère et une soeur.
    J’ai moi-même une fille de 29 ans.
    J’ai longtemps été dépressive, sans envie de mourir. La découverte du Qi-Gong il y a bientôt 20 ans et de la spiritualité m’ont permis de penser mes blessures. Je le pense, mais est-ce vrai?
    Je recherche toujours le but de ma vie.
    Les Constellations pourraient-elles m’aider?
    Merci pour votre réponse.

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    • Jeannine, il est important que vous veniez en constellations familiales pour dénouer l’intrication que doit vivre votre fille. Si vous avez de la détresse en pensant à votre soeur morte, vous pouvez aussi faire de l’EMDR….

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  15. Bonjour

    ma mère à fait deux fausses-couches avant d’avoir deux jumelles dissemblables ma soeur et moi. puis est arrivé mon frère 13 ans plus tard. je n’ai jamais eu de relations très fraternelles avec mon frère et ma soeur même assez violente pendant l’adolescence avec ma soeur. est ce qu’il pourrait y avoir un rapport avec ces enfants morts avant.
    merci de m’éclairer
    Valérie

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    • Valérie, ta question porte sur la qualité de tes relations dans ta fratrie. Oui, il est possible que cela vienne des enfants morts et que vous vous battiez pour « prendre » leur place. Imagine ta fratrie en ordre, de droite à gauche, avec tes parents derrière et ressens si cela t’apaise.

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  16. Bonjour,

    Je suis née faux-jumeau, mon frère est décédé lorsque ma mère était enceinte de 6 mois cependant, il est resté à mes côtés jusqu’à mon terme (9 mois).

    Il est mort-né au 1er juin 1967 puis, une semaine plus tard, je suis née, ceci dit, la mort ne m’effraie pas, bien au contraire, j’ai comme la sensation que c’est mon « chez moi »:)

    Cinq ans plus tard (1972) j’ai assistée au décès d’un autre petit frère vers l’au-delà à l’âge de 9 mois, beaucoup de tristesse mais je me disais qu’il était en sécurité de « l’autre côté »

    A l’âge de 28 ans, ma fille Sonia décède une semaine après la naissance, pour « remonter » la pente, je me suis repliée sur moi-même en me disant qu’elle était partie pour un monde meilleur et que rien de mal ne lui arriverait, cela m’a (quelque part) sauvée de la dépression..

    Quel est votre avis?

    Par avance, merci pour vos conseils,

    Namasté,

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    • Rania, la question de fond est « As-tu envie de vivre ou de mourir ? » Tu peux être attirée par la mort pour rejoindre tes frères morts. Le plus probable est que tu cherches un partenaire voulant mourir pour remplacer ton frère. Cela n’explique pas la mort de ta fille. Il semble que tu doives vivre ces deuils et néanmoins accepter de vivre. Que veux-tu faire avant de mourir ?

      Répondre
      • Bonjour,

        J’ai envie de vivre, mes frères sont morts car leurs chemins de vies étaient ainsi faits, je me suis dit qu’ils n’avaient (peut-être) pas envie de se réincarner, tout simplement…

        Ceci dit, dans mon inconscient, il se pourrait que mon esprit n’est pas « digéré » ces épisodes, c’est cette éventualité qui m’a menée à votre site:)

        Merci pour votre aide:)

        Namasté,

        Répondre
  17. je suis en dépression
    je suis née après une sœur morte
    je suis le numéro trois
    j’ai subi une fausse couche numéro trois
    j’ai fait un avortement numéro trois
    pouvez-vous m’aidez
    j’ai eu votre site par Enzo Ventura
    merci

    FRANCOISE

    Répondre
    • Françoise, tu as besoin d’accompagnement pour faire le deuil de tous ces êtres chers qui sont morts autour de toi. Viens en constellation, c’est le plus simple. Sinon, allonge-toi au sol, vois tous ces morts et dis-leur « je vis encore un peu et après j’irai vous rejoindre ».

      Répondre
  18. bonjour, je suis née après la mort de ma sœur, je suis numéro trois. J’ai fait une fausse couche numéro trois. J’ai fait une IVG donc numéro 4. Je lis les deux phrases par rapport à la mort de ma sœur. Merci et bonne journée.
    FRANCOISE

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    • Françoise, il n’y a aucun rapport entre votre fausse couche, votre IVG et la mort de votre soeur. Cela ne fait qu’accroitre une tendance morbide possible.

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  19. Bonjour,
    Ma mère a eu un enfant « handicapé », un garçon. Il avait des problemes et il est mort quelque jour apres. Les medecins ont dit qu’elle ne pouvait plus avoir d’enfant, malgré cela elle a eu mon frere et elle m’a eu 5 ans après.
    Je suis tres distante de ma famille, quand je suis avec eux, je ressens un grand malaise intérieurement, je perçois leurs pensées, et je ressens des energies. Je percois ma famille comme des etrangers. Je n’ai pas bcp de communication avec ma famille, et le sentiment d’amour n’est pas.
    Mon frere essaye d’avoir des enfants, le premier a eu une fausse couche, et le deuxieme etait un garçons mais son coeur s’est arreté de battre apres 6-7 mois. Il essaye encore..
    Tout cela peut-il avoir un lien?

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    • Amélie, il est temps que tu t’occupes de toi. Tu te fais du « souci » pour ton frère vivant qui veut sûrement rappeler ton frère mort. Que veux-tu faire de ta vie ? Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? Que veux-tu faire avant de mourir ? Pense à ta vie et non à celle des autres.

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  20. Chère Sarah, ma maman a avorté d’un enfant 2ans après moi car elle était en pleine séparation de mon père , mais je ne sais pas quel est son sexe. Il m’est arrivé d’y penser mais j’ai toujours considéré que c’était mieux ainsi car mes parents se détestent et c’est très dur a vivre. Je pense qu’il ou elle aurait souffert comme moi de tout cela et c’est pour moi impossible de souhaiter ce début de vie chaotique tiré entre nos deux parents.. Auriez vous un message de lui ou elle ? Cela me remplirait de joie !

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    • Camille, je suis Michel, le père de Sarah et ma réponse ne répondra pas clairement à ta question. Il est important pour toi de te séparer de ton « frère » mort et de le laisser partir avec amour. En restant dans « c’est très dur à vivre » quand tu évoques tes parents, tu expies. En le laissant partir, tu acceptes de vivre en paix, heureuse de vivre, même si tes parents…..

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  21. Excusez moi pour la confusion, j’ai été redirige a partir du site de Sarah mais je n’avais pas vu que ce n’était plus son site !
    Merci pour cette réponse, je travaillerais cela en méditation dans les prochains jours. Encore une petite question … J’ai moi même du avorter d’un enfant, comment éviter que les enfants que j’aurais peut être a l’avenir ne souffrent pas de ce changement de place ?

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    • Camille, la conséquence n’est pas sur les enfants à venir mais sur vous. Il est probable que vous voulez plus ou moins inconsciemment expier. Si vous avez de la détresse, des séances d’EMDR son possibles. Sinon une ou plusieurs constellations familiales sont indispensables. Les paroles adéquates sont : je te remercie d’avoir fait de la place pour moi et je te donnes une place dans mon coeur. Vous pouvez lire un des articles que j’ai consacré à ce sujet.

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  22. bonjour,
    mon fils est jumeau avec sa soeur, mais ils étaient quatre (FIV) un embryon s’en est allé mais nous avons effectué une reduction embryonnaire… C’est un enfant tres colereux et parfois tyrannique envers moi; serait-ce du à notre choix? Que faire pour qu’il se sente mieux ? lui expliquer (il a 12 ans) ou nous adresser aux ames parties ? merci pour votre aide.

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  23. c’est drôle mais je tombe sur votre site à partir du mail de Sarah
    sans doûte que tous ces questionnements sur les morts- nés continuent à me perturber
    je suis née en 3eme position après un frère et une sœur ainée (morte née) à qui on n’a pas donné de prénom et n’a même pas été portée sur le livret de famille (pour la société elle n’existe pas), il y a plus de 80 ans maintenant (je me suis dit la phrase que vous proposez, mais rien ne se passe! pas d’émotion! sauf qu’il est arrivé de me dire que j’aurais aimé avoir cette sœur… mais aucune envie de prendre sa place.
    qu’en est-il de la transmission générationnelle svp j’ai un garçon et une fille qui ont des enfants??
    merci infiniment à vous, j’attends votre réponse avec impatience. très cordialement

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    • Danielle, si vous êtes en paix avec votre mort et celle de votre soeur, si vous n’avez ni accident, ni dépendances plus ou moins morbides, cela signifie que tout va bien. Il est important de partir des comportements actuels. Par contre, arrêtez de vous faire du souci pour vos enfants, si c’est le cas et continuez à savourer la vie.

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  24. Bonjour,
    Je suis venue vous voir et suite aux conseils de Sarah sur son site, il y a des détails qui me chiffonnent quant aux contellations. Voilà, ma mère a avorté de deux jumeaux avant ma naissance et mon frère jumeau est mort durant les deux premiers mois de grossesse (j’ai eu un court arrêt cardiaque durant ma naissance et je suis née avant terme). J’ai eu un autre frère onze mois après ma naissance de sorte que je l’ai pris pour mon jumeau. Mon frère m’en a pas mal voulu à l’adolescence, il voulait que je sois un garçon comme ma mère qui avait du mal à me voir devenir une femme. De plus j’ai toujours tendance à chercher mon frère décédé dans mes relations amicales et sentimentales et mon père « nous » a fait souffrir aussi. Et cela se ressent dans la vie en général car les hommes me voient comme une mère ou une soeur et les filles comme un prince charmant voire une lesbienne. Voilà je veux en faire le deuil car je ne veux plus que mes relations deviennent des substituts mais je ne sais pas comment faire. Dois-je changer de nom? J’ai beau faire le deuil il est toujours attaché à moi.

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    • Cynthia, si ton frère est « attaché » à toi, c’est que tu le retiens. Le fait de changer de nom n’y fera rien. Reviens dans l’instant présent. Qu’est-ce qui te préoccupes aujourd’hui dans ta vie actuelle ?

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  25. Mon arrière-grand-mère est morte en laissant quatre filles et un bébé de trois mois prénommé Joseph. Les filles n’avaient que de l’eau sucrée à donner à leur petit frère qui est mort de faim à l’âge de six mois. Aucune autre mort d’enfant ni d’avortement dans les générations suivantes à ma connaissance.
    Ma carrière stagne un peu. Me vient alors l’idée d’un projet atypique que je voudrais tester sous pseudo. Or, le seul prénom que j’aie envie de porter à part le mien est… Joséphine ! Je vois bien que quelque chose cloche : Joseph est mort de faim alors que moi, j’aimerais mieux connaître le succès. Qu’en dites-vous ?
    Merci pour votre site et bien sûr, je viendrai à une constellation.

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    • Joséphine, cela me semble un peu loin (grand oncle pour vous). Sauf si vous êtes homosexuelle… Comme vous êtes une fille, cette histoire entraîne, pour votre grand-mère qui a perdu un frère Joseph… Ou une autre piste, une fille est-elle née après Joseph ? Ce serait elle la Joséphine à laquelle vous pouvez être identifiée.

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      • Je suis hétéro mais je ne vois pas le lien entre orientation sexuelle et distance temporelle, pouvez-vous expliquer s’il vous plaît ?
        Les psychogénéalogistes demandent d’établir l’arbre jusqu’aux arrière-arrière-grands-parents, alors un grand-oncle n’est pas si lointain… Ce qui amène une autre question : en quoi la constellation familiale est-elle différente de la psychogénéalogie ? J’ai été surprise, en découvrant ce site, de ne trouver aucune référence à la psychogénéalogie. C’est quand même très proche, non ?
        Et enfin, pour revenir à ma question de départ : l’attirance pour le prénom Joséphine, dans ce contexte, semble-t-elle plutôt pathologique ou plutôt réparatrice ?
        Merci.

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        • Je comprend votre interrogation. A priori, on s’identifie avec une personne de même sexe. Sinon, on a une dynamique d’homosexualité. Il existe quelques rares exception, comme dans le cas de Jean Paul Sartre.
          La psychogénéalogie est plutôt intellectuelle, s’appuyant sur des prénoms et des dates de naissance. Les constellations familiales sont naturelles et « phénoménologiques » s’appuyant sur le ressenti de personnes. Serge Tisseron fait de la psychogénéalogie pour interpréter l’histoire de Tintin.
          L’attirance pour le prénom Joséphine se veut réparatrice, mais semble plutôt pathologique. Le Joseph avait-il une soeur cadette ?

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          • Joseph était le dernier. Sa mère est morte des suites de sa naissance le jour de mon anniversaire — ou plutôt, je suis née le jour de la mort de mon arrière-grand-mère, quelques décennies plus tard. Ma grand-mère était la quatrième des filles, juste avant Joseph ; c’est elle qui m’a raconté tout ça et c’est à elle que je m’identifie.
            D’après ce que vous dîtes, je devrais plutôt me tourner vers la psycho généalogie, à cause des coïncidences de dates et de prénoms.
            En tout cas merci beaucoup.

          • Si vous vous identifiez à l’arrière grand-mère morte en couches, la croyance est « les hommes sont des meurtriers » ce qui entraîne une colère contre les hommes et la peur d’avoir un enfant. Si vous vous identifiez à votre grand-mère, la croyance est « les hommes m’abandonnent ». La psychogénéalogie ne règle pas grand chose, elle apaise l’esprit mais ne résous pas l’identification, quand elle la trouve.

          • Ah, j’oubliais ce détail important : d’autres garçons (nés entre les filles ) étaient morts en bas âge ; c’est une famille où ne survivaient que les bébés filles. Les Joseph mouraient mais les Joséphine s’en sortaient.

          • Je suis scotchée par la pertinence de votre réponse ! Oui, mieux vaut être une fille dans cette famille, d’autant que mon cousin est mort prématurément lui aussi. Et puis j’ai vécu avec un homme qui avait le prénom de l’arrière-grand–père, qui a voulu me faire un enfant et qui a aussi, par ailleurs, émis un jour l’intention de me tuer !! Inutile de dire que je n’ai accepté aucune des deux propositions et que je me suis carapatée.
            Mais pourquoi l’identification à la grand-mère signifierait-elle « les hommes m’abandonnent » ?

          • La mort de son frère jeune est vécu comme un abandon. Dans ce cas, la personne va chercher un homme qui a envie de mourir, de ne pas rester, car elle cherche son frère mort, Joseph. Vos réactions indiquent que vous êtes plutôt identifiée à l’arrière grand-mère, qui a eu le destin le plus difficile et que vous pouvez honorer en pensant « je peux prendre le risque d’avoir des enfants » ou « je peux avoir des enfants et les voir grandir ».

          • Or j’ai fait très jeune le choix de ne pas avoir d’enfant (pas à cause de mon arrière-grand-mère mais avec une pensée pour elle aussi ) et nous nous en félicitons chaque jour ou presque, mon mari et moi.
            Il y a d’autres histoires troublantes dans d’autres branches de mes ancêtres. Quand on vient à une constellation familiale, est-ce qu’il faut choisir la branche sur laquelle on veut travailler ? Toutes ces histoires ont un impact sur nous, comment déterminer celle qui nous influence, celle qui nous gêne le plus ?

          • C’est la constellation, le ressenti des représentants, qui décide. C’est l’énorme différence avec la psychogenealogie.

          • PS : Et j’honore quand même mon arrière-grand-mère qui a dû rêver de pouvoir faire l’amour sans tomber enceinte !

          • Je pense que vous vous trompez. Honorez le fait qu’elle ait pris le risque d’avoir des enfants. Sentez la différence.

          • Elle n’avait surtout pas le choix !! Je peux honorer son courage, mais pas les conditions misérables de sa courte existence.

          • D’accord, j’honore tout chez mon arrière-grand-mère pour en finir avec l’intrication. Faut-il honorer TOUS ses ascendants pour se dégager de leur emprise ? Dans certains cas, quand on les a connus et qu’il y a eu conflit, ça peut être terriblement difficile à faire. Des conseils ?
            Merci, merci, merci.

          • Joséphine, il est surtout important d’honorer le destin des personnes avec lesquelles nous sommes intriquées, qui sont la plupart du temps mortes. Dans le cas où le trauma est « personnel », le plus simple est de faire de l’EMDR par exemple, qui cicatrise le trauma dont on a un souvenir.

  26. Bonjour , je suis arrivée à votre site à partir de celui de Sarah , peut-être est-ce une réponse à mes prières . En effet je souffre beaucoup d’une relation très difficile avec mon fils unique , il me rejette, jusqu’à me priver de mon petit-fils avec qui je m’entendais bien . Le phénomène s’accentue avec le temps .Il a bientôt 40 ans .Après avoir lu vos articles je me demande si cette ‘détestation  » ne viendrait pas du fait qu’il est arrivé après un premier enfant mort à la naissance et dont il ne veut rien savoir , lui même précédé de 2 avortements , puis 2 fausses-couches ? qu’en pensez-vous ?
    Merci de votre réponse .

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    • Jacqueline, il est important que vous honoriez le destin de votre fils et de votre petit-fils. Avez-vous vous même perdu des enfants ou un frère auquel vous identifierez votre fils ou votre petit-fils ?

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      • Merci de votre réponse . oui j’ai perdu un enfant à la naissance en 73 , mon fils est né en 75 . en 72 j’ai fait une fausse-couche .et en 76 j’ai subi un avortement ;
        En 2003 j’ai perdu 2 frères . mon petit-fils est né en 2010 ;
        Comment honorer le destin de mon fils et de mon petit-fils ?

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        • Jacqueline, il est important d’honorer tous vos enfants : le premier car c’est sûrement la place que prends votre fils inconsciemment et l’enfant avorté dont il est probable que votre fils reprenne la colère. Ils avaient tous le même père ?

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          • oui , ils avaient le même père . en effet , mon fils est plein de colère , il a des périodes d’agressivité contre son père et surtout contre moi .. je comprends mieux pourquoi il semble penser que je pourrais faire du mal à son fils . la situation est très douloureuse pour lui comme pour moi car nous avons été très proches , j’ai divorcé quand il avait 8 ans .Pensez- vous que les constellations familiales pourraient l’aider ? si oui comment faire ? nous vivons à l’île de la Réunion mais je serai en France du 14 juil au 21 octobre 15 . Serait-il alors possible de vous rencontrer ?

          • Oui, vous pouvez venir me voir et assiter à une constellation. Cela vous aidera sûrement. La cicatrisation de l’avortement demande du temps. Soyez patiente. Votre fils le sait ?

  27. Mon fils ne sait pas pour l’avortement .cela s’est passé quand il était tout bébé . Je me suis trompée : je serai en France du 14sept et je n’ai pas trouvé de lieu pour participer à une constellation .

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    • J’en anime une le 13 septembre, le 18 octobre en journée, le 17 septembre et le 8 octobre en soirée. Je ne connais personne à la reunion. Peut etre que je viendrai en novembre…..

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      • J’essaierai de venir le 18 oct si ça se passe pas trop loin de la Normandie où je résiderai à cette période . Mais ça serait formidable que vous veniez à la Réunion , en novembre , je pense qu’il y a de quoi faire . Si je peux faire quelque chose pour vous faciliter la vie dans l’île , n’hésitez pas , je ferai mon maximum .

        Répondre
          • Vous êtes donc en pays de connaissance si votre fille connaît l’île . je maintiens ma proposition .
            Je ferai le maximum pour venir le 18/10 à Paris . pour l’instant mon programme n’est pas encore calé , ça dépend un peu de mon entourage .

  28. bonjour,

    je suis fille unique et je me suis toujours sentie très seule, et de plus en plus en grandissant, j’ai 28 ans et il y a quelques jours mon père m’annonce comme ça au court d’une conversation que ma mère, un jour en allant aux toilettes a perdu une boule de sang, ce qui serait du a une fausse couche, tout du moins c’est ce que nous pensons mon père et moi, et là je m’aperçois que j’aurais du avoir un petit frère ou une petite sœur puisque c’est arrivé alors que j’étais déjà née, je réalise alors que peut être ce manque immense que j’ai toujours ressentie pourrait être du à la perte inconsciente de mon petit frère ou de ma petite sœur, je voudrais avoir votre avis, qu’en pensez-vous ?

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    • Alexandra, c’est fort possible. La seule autre possibilité est un mouvement interrompu avec la mère, une séparation précoce vécue comme lorsqu’un prématuré reste à l’hôpital seul sans maman.

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      • de plus quand mon père m’en a parler je me suis sentie comme soulagée quelque part, je ne saurais l’expliquer, même si je me pose encore beaucoup de questions sur cet être perdu trop tôt, il y a aussi une chose que je fais et dont je me suis rendue compte il y a peu, c’est que je suis tatouée et je ne porte mes bijoux que du côté gauche, et je n’ai absolument rien du côté droit, je ne sais pas pourquoi je fais ça, ça n’a certainement aucun rapport mais je voulais tout de même avoir un avis là dessus

        Répondre
    • Oui, cela va de la droite, du plus âgé, vers la gauche, le plus jeune. C’est ainsi sans que je sache pourquoi. Ce n’est pas lié à la force de Coriolis, car c’est la même chose dans l’hémisphère sud.

      Répondre
      • hé bien merci à vous pour toutes vos réponses et votre patience, cela m’a aidée, j’espère rencontrer mon frère ou ma sœur quand mon heure sera venu, si tel est le cas je ne le ou la quitterais plus, merci encore

        Répondre
        • La phrase consacrée est « je vis encore un peu et après j’irai te rejoindre ». Sentez si c’est un garçon ou une fille, la dynamique est différente.

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          • hé bien j’aurais plus parier sur un frère que sur une sœur par intuition, je peux me tromper bien sur, mais je voulais savoir si je le rejoindrais à ma mort ou est-il possible qu’il soit réincarné et dans ce cas je ne le verrais surement pas ?

  29. Bonjour,

    Je m’appelle Robin et j’ai 22 ans. Je suis le dernier d’une fratrie de 3 enfants et ma mère a avorté 7 ans avant ma soeur aînée. J’ai toujours imaginé que l’enfant avorté était un garçon et que je le retrouverai comme âme soeur. Je précise que je suis homosexuel et j’ai pourtant vu sur votre site que si l’on était homosexuel, l’enfant perdu est de sexe opposé. Je recherche plus une relation fraternelle avec homme plus âgé que moi, cela confirmerait donc que c’est un garçon qui a été avorté ? Et est-il possible qu’il s’agisse d’une fille ? Merci par avance pour votre réponse.

    Répondre
    • Dans ce cas, il y a recherche pour vivre avec l’enfant mort au lieu de vouloir le remplacer. Dans tous les cas, soyez circonspect sur la dynamique de la personne avec qui vous vivez, qu’elle soit orientée vie et non dans une dynamique morbide, fumant, buvant ou ayant des TOC ou des idées suicidaires, quelqu’un que vous voudriez sauver.

      Répondre
  30. Bonjour,

    Je pense être la première , j ai eu deux accidents de voiture et en relisant vos commentaires, je me suis rappelée que ma mère m avait dit qu elle avait eu une fausse couche….J ai eu moi même des fausses couches…. Pourquoi les fausses couches ont elles de telles conséquences?
    Je m étais dit que enfin de compte l enfant ne voulait plus venir… Il y a t il une différence entre les avortements et les fausses couches dans les constellations?

    Je suis très curieuse de votre réponse et je vous en remercie infiniment

    Maria

    Répondre
    • Il y a une très grande différence entre fausses couches et avortements. Dans le cas d’avortement, la mère porte une responsabilité et aura tendance à expier et un enfant vivant peut porter la colère de l’enfant avorté. Dans le cas de fausse couche, ce n’est qu’une question de place pour les enfants. Dans de rares cas, la mère ne désire pas l’enfant et peut porter une culpabilité même si elle est innocente.

      Répondre
  31. bonjour,

    Je suis très troublée de ce que je viens de lire. Dans ma fratrie je croyais être la 3ème, hé non je suis la 4ème, une de mes soeurs, la seconde dans la famille est morte très jeune, je ne l’ai pas connue. Et un cinquième enfant n’a pas vu le jour, ma mère ayant fait une grossesse extra-utérine qui a d’ailleurs failli l’emporter. Je crois bien que je vais faire une constellation. Quelqu’un m’en a parlé dernièrement, m’a dit que quelqu’un n’était pas à sa place dans ma famille. Même si je n’ai pas de problème je sens bien que quelque chose n’est pas clair. Ma soeur aînée, donc la première de la famille présente les symptomes que vous évoquez , c’est frappant. Merci pour cet éclairage.

    Répondre
  32. Bonjour Michel,
    Y a-t-il des répercussions connues quand on sait qu’on a failli mourir avant de naître ( être l’objet d’une fausse-couche ) ?
    Merci.

    Répondre
    • Joséphine, dans ce cas, l’événement revient sous forme de métaphores en cas de changement du genre « je dois mourir avant de renaitre ou de changer » ou « je dois m’accrocher pour vivre »…

      Répondre
  33. Bonjour ,
    je suis actuellement un chemin de vie avec votre fille Sarah Diviné sur un webinaire et c’est génial je recommande à tous cette expérience.
    J’ai eu 2 frères morts, le premier ,l’ainé est mort à 3 ans d’un accident domestique, je suis née 1 an après lui et suis une femme, ensuite mon petit frère est né 2 ans après moi et il est mort à 10 mois.
    Ma mère a fait une interruption de grossesse ensuite et c’étaient des jummeaux! je précise que je ne m’entends pas du tout avec elle et je m’en sens coupable.
    J’ai moi même fait un IVG lorsque j’avais 20 ans.
    J’ai 2 filles, 28 ans et 21 ans qui ont du mal à trouver leur chemin de vie, surtout la première, qui a des insomnies et qui n’est pas heureuse dans sa vie affective, la deuxième c’est pas mieux niveau affectif.
    J’aimerais connaitre et faire une constellation familiale.
    Merci d’avoir pris le temps de me lire.
    Bien à vous.
    Elisabeth

    Répondre
    • Elisabeth, les constellations familiales se passent en groupe. J’en anime à Paris, à Rennes et exceptionnellement à La Réunion à la fin du mois. Il est probable que les insomnies de ta fille proviennent de ton IVG et d’une dynamique morbide venant des morts autour de toi. Comme tu es en colère contre ta mère (qui peut provenir de son IVG), elle peut aussi être identifiée à ta mère.
      Dans tous les cas, construit une lignée maternelle en remontant suffisamment loin pour que tu te sentes en paix. Choisis le sexe de l’enfant que tu as décidé de ne pas garder et imagine-le s’appuyer sur toi, puis tes 2 filles à sa gauche. Enfin, dis « vous avez tous les 3 une place dans mon coeur et je reste ».

      Répondre
  34. Bonjour,

    Depuis mon enfance, j’ai toujours cherché à créer des liens frères-sœurs avec les garçons, et j’ai toujours rêvé d’un grand frère (chose impossible, et je n’ai qu’une petite sœur, avec laquelle je suis en conflit permanent). Je m’entends d’ailleurs mieux avec les garçons qu’avec les filles.
    Petite, j’imaginais que j’avais un grand frère, et j’ai sans cesse besoin d’être protégée.

    Je n’ai entendu aucune allusion à une grossesse non aboutie (IVG ou fausse couche) ni mort d’un enfant pendant la grossesse venant de ma famille, mais il est fort possible que mon oncle ait perdu un jumeau ou une jumelle.

    Pensez-vous que tout cela puisse être lié à un jumeau ou à un autre enfant mort avant moi?

    Je suis curieuse de votre réponse,
    Merci de m’avoir lue.

    Répondre
  35. Bonjour,

    j ‘ai 52 ans je n’arrive pas à trouver ma place dans la vie et je ressens toujours une grande tristesse, je suis née avant deux garçons morts in utérus et ma mère a du garder le lit pendant toute ma grossesse

    Répondre
    • Lanna, vous avez bien lu l’article ? Venez en constellation et, entre temps, dites à vos 2 frères morts avant vous « je vis encore un peu et j’irai vous rejoindre. En votre souvenir, j’accepte de vivre ».

      Répondre
  36. Bonjour, merci pour vos articles intéressants. Je suis officiellement la 2ème. Ma mère a longtemps tu un lourd secret familial de fausse couche, avant qu’une kinésiologue (et accessoirement des voyants) me parlent d’un enfant mort entre ma soeur aînée et moi. Ma mère a alors avoué sa fausse-couche à demi-mot, je culpabilisais à l’époque de l’avoir forcée à ressortir tout cela, considérant qu’il s’agissait de son histoire, tout en ressentant une résonance forte qui me prouvait que cela me concernait également. Mes parents souhaitaient avoir un garçon, et avaient donc pensé au prénom d’Antonio. Personne ne saura jamais si cet enfant était de sexe masculin ou féminin mais j’ai la forte intuition qu’il s’agissait d’un garçon.
    Ma 1ère question est donc: dois-je uniquement me fier à mon intuition (que je ressens comme une certitude, je ne sais pourquoi) ?
    Ensuite, les échographies n’existaient pas encore lorsque ma mère était enceinte de moi et mes parents étaient convaincus qu’un garçon allait naître…-car c’était leur profond désir et par rapport à la forme de ventre pointue du ventre de ma mère…croyances quand tu nous tiens! 🙂 Vous l’aurez donc bien compris, je suis une femme et mes parents s’attendaient donc tout naturellement à me prénommer « Antonio »… et fort heureusement, ils ont abandonné l’idée de m’appeler “Anthoniette” Ils ont finalement rapidement trouvé un prénom à la dernière minute..
    Bref, j’ai été ce que l’on appelle communément un « garçon manqué » et mes parents me refusaient les jouets qu’ils considéraient ne pas être destinés à des petites filles, bien que je sois hétérosexuelle. A l’époque, je refusais de porter des jupes et j’ai soudainement été fortement attirée par les poupées Barbie, le maquillage, sans doute pour signifier à ce frère perdu mon droit d’exister (de manière tout à fait inconsciente bien entendu). Lorsque j’étais plus jeune, j’entendais régulièrement un son fort de billes tomber sur le plafond de ma chambre, et j’étais la seule à les entendre… (c’est alors qu’un voyant m’a parlé de ce petit garçon qui jouait). Plus tard, lorsque je suis allée voir cette kinésiologue, c’était pour des questions de dépendance à l’alcool, dont elle considérait l’origine provenir de ce frérot mort. Ma mère a fait une fausse couche car elle a porté de lourdes charges afin de cacher sa grossesse à mon oncle -qui a élevé mon père. Elle le considère responsable de cet événement. Il se fait que cet oncle a eu des attouchements -voir plus? envers ma soeur et avait tenté avec moi avant, sans succès. Y aurait-il un lien entre cet oncle et mon frère décédé? Pensez-vous qu’il est possible que mon frère puisse ne jamais vouloir me pardonner? A-t-il une influence sur mes parents/ma soeur? Je suis consciente de la nature de ma demande mais j’espère que vos réponses pourront également aider d’autres personnes. Merci!

    Répondre
    • Louise, oui, tu peux te fier à ton intuition pour savoir si c’est une fille ou un garçon, surtout si tes parents pensaient à Antonio. Quand tu écris « Pensez-vous qu’il est possible que mon frère puisse ne jamais vouloir me pardonner? » tu pense as ton frère mort ou à un frère vivant ? Si c’est au frère mort, tu portes une culpabilité éventuelle de ta mère qui n’est pas la tienne. « Maman, je fais le deuil en tant que soeur et je te laisse celui en tant que mère »… Sauf tu as toi-même perdu des enfants.

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      • Merci pour ta réponse rapide et claire. En effet, il s’agissait de mon frère mort. Penses-tu qu’il puisse également y avoir un lien avec mon oncle? Je me demande en fait dans quelle mesure l’âme ou l’entité de mon frère peut avoir de l’influence. Merci encore

        Répondre
        • Je ne pense pas, le fait que ton oncle (maternel ?) ait eu des attouchements avec ta soeur doit avoir une autre origine, sûrement une personne qui a vécu la même chose antérieurement.

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          • Merci beaucoup pour tes éclaircissements! 🙂 Non, il s’agit du mari de la soeur de mon père. En effet, ma mère a connu des attouchements également, ce phénomène est malheureusement si fréquent au sein des familles… 🙁

          • Oui, il semble que la fille veut le rappeler à la mère…. L’origine vient souvent du remariage d’une femme veuve, indisponible à son mari et dont la fille prend la place.

  37. Merci encore pour ta réponse. Le plus important dans ma recherche de compréhension me semble ici que: « il semble que la fille veut le rappeler à la mère….  » mais en l’occurrence ici, ce n’est pas ma soeur mais moi qui me suis souvenue de ces attouchements après une dispute avec mon père à travers le téléphone alors que j’avais un peu trop bu… ces images me sont apparues tellement claires…j’ai même revu des objets de la chambre que j’avais oublié depuis que j’y étais allée petite, et des souvenirs oubliés ont resurgi -il s’agissait d’aller « faire des câlins à mon oncle alors qu’il était seul dans son lit…Et l’image de ma tante qui m’empêche physiquement d’aller « sauver ma soeur” dans l’autre chambre alors qu’elle refuse d’y aller…Lorsque que cette histoire a éclaté, mon père m’a demandé des preuves concrètes, ce qui m’a mise très en colère…d’autant que mon oncle a reconnu ces câlins “gentils”…Ensuite, mon père m’a tout simplement demandé de lui répondre par oui ou par non à la question de savoir si j’étais certaine de ce que j’avançais, car il m’a juré qu’il tuerait mon oncle…j’ai bien évidemment répondu que je n’étais certaine de rien…d’autant que ma soeur semblait ne pas être prête à de tels souvenirs. Aujourd’hui, on n’en parle plus, je ne suis plus en colère contre mon oncle (qui vit toujours avec sa femme, je n’ai pas bien compris ta réponse concernant la veuve, est-ce au sens figuré?) mais je tente de ne plus y penser car je dois encore éprouver un peu de colère vis-à-vis de mes parents, qui ne m’ont pas entendue. C’est comme si je considérais ne pas avoir le droit de parole dans cette histoire car ma ma soeur a sans doute vécu le plus grand trauma, et ce qui me prouve encore une fois à nouveau, que mes parents me considèrent une fois de plus comme le garçon fort qu’ils auraient tant aimé avoir, et les hommes ne font pas dans le sentiment selon leurs croyances… Je me sens plus forte car j’ai pris conscience de tout cela mais je réalise que je suis occupée à écrire à ce sujet en ce moment même… De l’influence des constellations familiales en effet…et de l’importance de se faire épauler en la matière…merci pour tout aide et pour tes articles!

    Répondre
      • Merci pour ta réponse mais je ne comprends pas bien: tu sous-entends que le problème ici est la culpabilité que je ressens toujours par rapport à ce frère mort? et quel est le lien avec la confiance dont tu parles? Y a-t-il un lien entre mon frère mort et mon oncle? Merci encore

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          • Merci pour ta réponse. Donc, je dois inconsciemment culpabiliser car je ne m’en rends pas bien compte. Et je ne dois pas faire confiance à mon père??? plutôt à mon oncle. Merci encore pour ton aide

          • Quand ton père est en colère contre toi, tu peux penser que tu es coupable de sa réaction et que tu ne sais pas à qui faire confiance… D’où les croyances positives.

  38. Bonjour,

    Je m’appelle Carole, j’ai 22 ans et j’ai une cyphoscoliose depuis mes 11 ans (soit la moitié de ma vie maintenant) J’ai écouté le soin audio de Sarah sur son article concernant les clés de l’auto-guérison. Suite à cette écoute j’ai eu pour message une espèce flash dans lequel je voyais un enfant mort dans une pyramide. Puis j’ai lu les commentaires et j’ai vu que plusieurs personnes atteinte de scoliose avaient eu des frères et soeurs morts avant la naissance (fausse couche, avortements, mort né…) Du coup j’ai lu votre article et voilà mon interrogation : Ma mère a 4 enfants, je suis la troisième. J’ai avant moi (du côté de ma mère seulement) une soeur et un frère et j’ai après moi un petit frère. Seulement avant chaque enfant, ma mère à eu une fausse couche (au moins à ma connaissance). Je ne connais pas le sexe des enfants morts avant ou après moi. En y réfléchissant, cela signifie que chacun de nous est succède et précède un mort, au moins et que du coup, on devrait être une fratrie de 8. J’ai faillit mourir juste avant ma naissance, je m’étouffais avec le cordon ombilical, je suis née donc bleue par césarienne en urgence. Mon petit frère est né avec un problème gastrique et d’après les médecins il n’aurait pas du survivre, aujourd’hui il a 18 ans et est en pleine forme. Je ne sais rien quant aux conditions de naissance de mes aînés. Aussi, du côté de mon père, j’ai une autre grande soeur, nous avons été séparées pendant 17 ans, ça a été un grand tabou dans ma famille, je ne connais pas encore tous les tenants et les aboutissants, mais j’ai retrouvé ma soeur il y a 1 an et demi. Son absence à toujours été un grand vide et j’ai toujours cherché à la retrouvé alors que je n’ai aucun souvenir d’elle avant notre séparation. Je savais juste que j’avais une soeur, sa date de naissance (mais pas l’année), son prénom et la couleur de ses cheveux. Qu’en pensez vous ?

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  39. Bonjour,

    Voilà j’ai du interrompre ma 1ère grossesse à cause d’une grave malformation.

    C’était une petite fille.

    L’interruption de grossesse à été faite mi Septembre 2009 et je suis tombée enceinte de mon fils en debut Novembre 2009.
    Il se porte très bien, il a maintenant 7ans 1/2.
    Doit on lui expliquer ce que l’on a vécu? Comment trouver les mots?

    Mon mari et moi parlons d’avoir un « deuxième  » enfant et je pense que le moment est venu qu’il soit au courant.

    Merci beaucoup de m’éclairer à ce sujet.

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    • L’important est d’être en paix quand vous lui en parlerez et de compter cette fille comme votre premier enfant. Dans ce cas Bert Hellinger conseille de ne pas faire de test pour le 3e enfant à venir.

      Répondre
      • Merci beaucoup pour votre rapidité.

        Qu’entendez vous par ne pas faire de test pour le 3ème enfant?
        Je découvre juste cette notion de constellation. Avez vous un livre à me conseiller ?
        Merci encore pour ces précisions.

        Répondre
          • Dans notre cas, aucun test spécifique n’avait été fait.
            L’anomalie à été découverte au cours d’une échographie de contrôle basique.

            Si une 3ème grossesse à bien lieu, elle sera suivie comme toutes les autres par 1 professionnel de santé et nous ne ferons pas l’impasse sur les contrôles obligatoires !

            Je vais en tout cas me pencher sur le livre que vous m’avez conseillé.

            Bon réveillon à vous !

  40. Bonsoir

    J’ai une sœur décédee en 1972,elle est morte à 1an.
    Je suis née en 1973 et on m’a donné son prénom
    J’ai jamais compris pourquoi alors qu’en 1970 une de mes sœurs est née avant moi
    Pourquoi lui a ton pas donné a elle?
    J’ai peur de la mort et souvent des angoisses le soir « on sera plus là « je me le répète en boucle
    La relation avec ma mère c’est catastrophique je n’ai aucune image de bonheur en sa présence ,image de câlin ou de douceurs maternelle.
    J’ai 45 ans aujourd’hui et cela fait un an que je n’ai pas revu ma mère et elle ne cherche pas après moi non plus
    Je pense souvent à cette sœur que je n’ai pas connu
    J’ai su très jeune que je portais le prénom d’une sœur decedee car ma mère avait confondu sa photo avec la mienne Bebe ….

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    • Amazone… je te conseille de :
      – dire à ta soeur morte « je vis encore un peu et après j’irai te rejoindre »
      – faire une constellation familiale.
      – changer de prénom.
      – être en paix même si ta mère va mal « maman, je prends le deuil en tant que soeur et je te laisse celui en tant que mère ».

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  41. Bonjour J ai appris très jeune que mais parents on eu des jumelles avant moi et son décédé à la naissance . Mais J ai un prénom composé qui en faîte et les deux prénom des jumelles . Je toujours eu la sensation de pas être moi . Et J ai des blocages avec les gens je ny arrive pas . Pouvez vous m’aider

    Répondre
  42. Bonjour. J ai eu une soeur morte nee (etouffee par le cordon) avant moi. J allais souvent lui parler sur sa tombe quand j etais petit. Quand j etais petit garcon on m a dit que j ai failli etouffer en mangeant une pomme… Depuis je suis quelqu un de nerveux qui ne supporte pas qu on le sert le prenne trop dans les bras d une autre personne. J ai vecu 18 ans avec la mere de mes enfants et maintenant seul. Des qu une femme veut trop fusionner avec moi je suffoque. Je perds meme le desir depuis 2 ans (malgre des taux hormonaux au dessus de la normale a 48 ans). Le soir et ce depuis toujours, je tarde a rentrer chez moi, j ai peur d etre seul, j ai une angoisse, une peur du vide, que je n ai jamais durant la journee… C est dur et paradoxal car j ai du mal a vivre a deux desormais. Je sais que quelque chose m empeche de vraiment vivre ma vie. Je serai content de lire votre interpretation.

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  43. Bonjour suite à mon message . J ai pris la décision de me trouver un surnom . tous en discutent avec maman et lui expliquant tout le mal être que j’avais ça m’a fait un bien fou.et j’ai consulté un kinésiologue aussi pour remettre les choses en place ,ça aussi ma fait du bien et ma aidé à comprendre certaine chose. tout n’est pas résolu et certains chose ne le seront peut-être jamais,Je devrait apprendre à vivre avec. Mais je vais beaucoup mieux .

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  44. Bonsoir , j’ai été conçue après le décès de mon frère qui est mort à l’âge de 08 mois d’une méningite foudroyante , je suis une une femme ; j’ai toujours été tendance dépressiv: il parait que j’étais une enfant difficile
    pouvez vous me dire ce qu’il en est .
    merci
    Cordialement.
    Marine

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    • Catherine, je ne peux répondre simplement. « J’ai toujours été tendance dépressive » est un jugement sur soi, tout comme « il parait que ». Quels sont vos symptômes ? Celui d’avoir un frère mort est plutôt une tendance « je veux vivre » et « je veux mourir » et de rechercher l’âme soeur. Est-ce votre cas ?

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      • Bonsoir,

        Je ne sais pas si je recherche l’âme soeur , je voulais savoir ce que pourrais avoir comme répercussion le fait d’être conçue après le décès de mon frère ( le syndrôme de Gisant) dans ma vie d’adulte
        merci
        Cordialement
        Catherine

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        • La conséquence peut être que vous ne vous sentez pas à votre place de deuxième et que vous cherchez l’âme soeur à travers des relations où vous voulez sauver autrui.

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  45. Bonjour Sarah j ai demander à ma mère si y avait eu un avortement ou une fausse couche et donc ya bien eu une fausse couche. En 1983 parcontre je sais pas si c est un frère ou une sœur. Mon grand frère est né en 1985 et moi 1987 pourrais tu m aider pour la suite merci Florian. Ps ce message et en lien avec la question que je t es poser dernièrement ou ta répondu en vidéo merci

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  46. Bonjour,
    Je porte en 3ième prénom le prénom de ma tante morte quelques temps après sa naissance. Qu’elle répercution cela peut-il avoir éventuellement ? Qu’en pensez vous ?
    Angélique

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    • Dans ce cas, vous vous prenez pour une soeur de votre mère et avez tendance à vouloir la sauver, se faire du souci pour elle… Et si vous avez une grande soeur identifiée à la GMM, vous pouvez la prendre pour votre mère…

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  47. J’ai une soeur qui est décédée à l’âge de 4 mois d’une malformation cardiaque. Je suis née 16 ans après sa naissance et on ne m’attendait plus. J’ai toujours entendu parler d’elle et il y a même une photo d’elle morte dans son berceau (cela se faisait beaucoup dans les années 50). Cette soeur a eu une énorme influence sur le déroulement de ma vie. J’ai l’impression qu’elle est plus présente que si elle était vivante. Dans quelle mesure une soeur née 16 ans avant moi et décédée à 4 mois peut avoir autant d’impact sur moi ?

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    • C’est le principe de l’intrication. On veut faire plaisir au père ou à la mère pour leur rappeler la personne manquante… Cela ne fonctionne pas, mais l’enfant se croit tout puissant… Lui dire « je vis encore un peu et j’irai te rejoindre » et à votre mère « je prends le deuil en tant que soeur et je te laisse celui en tant que mère ». C’est le thème de la vidéo que vous pouvez voir sur cette page.

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  48. Bonsoir,

    Depuis que je suis petite j’ai toujours su au fond de moi que j’avais eu un frère alors vous allez peut-être me dire que j’étais en recherche d’un lien fraternel et que je l’invente mais mes parents m’ont révélé que ma mère a perdu l’enfant pendant la grossesse et moi je suis arrivée un peu après. Je sais au fond de moi que j’avais un frère et le vide est présent , chaque activité que je fais avec mes parents je n’y arrive pas a 3 il me manque une présence et chaque fêtes (Noel , anniversaire ) la douleur est présente. 23 ans que ça dure…

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    • La solution est simple, accepter la mort de ce frère en lui disant « je vis encore un peu et j’irai te rejoindre ». Si cela ne suffit pas, venez en constellation familiale. D’après vous, est-il plus heureux quand vous souffrez ou quand vous profitez de la vie ?

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  49. Bonjour, ma fille a un bébé de 2 mois et a subi une ivg (une autre relation aujourdhui terminée ) deux ans avant à peu près . Je voudrais savoir s’il y a quelque chose à faire pour que cet enfant trouve sa place et ne souffre pas du “manque” du premier enfant parti .
    D’autre part, à deux ou trois reprises (une fois à ma fille alors qu’elle était enfant et deux fois à moi) lors de séances de kinésio (avec différents praticiens) on nous a dit que j’avais eu un fils que j’aurais perdu avant ma fille. Je n’en suis pas consciente mais probablement est ce la vérité..;dois je consteller pour cet enfant perdu , pour moi,pour ma fille et la sienne ?

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  50. Bonjour,
    Je me permets de vous envoyer ce message car je m’intéresse aux liens transgénérationnels et je pense à participer à une constellation familiale.
    Nous sommes deux sœurs : Séverine (mais de son « vrai » prénom, Marie-Séverine mais elle ne se fait jamais appeler comme ça) née le 01/04/1975 et moi-même, Anne-Laure, née le 13/10/1982. Ma sœur a appris il y a des années que ma mère aurait avorté d’un garçon avant sa naissance (secret de famille, nos parents nous en ont jamais parlé).
    Le 3 avril dernier, j’ai accouché d’un petit garçon prénommé Axel suite à une mort fœtale in utero (mon terme était prévu le 20 juillet).
    Tout ceci peut-il avoir un lien ? Qu’en pensez-vous ?
    Je connais peu l’histoire de notre famille, pensez-vous que ce soit bloquant pour faire ma constellation familiale ?
    Un grand merci d’avance.
    Bien cordialement

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    • C’est possible qu’il y ait un lien entre la mort de votre frère (l’avortement de votre mère) et la mort de votre fils Axel. Le danger est que vous vous en sentiez responsable alors que ce n’est pas le cas. Les enfants se sacrifient pour leur parent. Alors, honorez le destin de votre frère et celui de votre enfant. Si vous avez des enfants vivants, comptez le « je vous vois tous, les morts comme les vivants et je vous donne une place dans mon coeur ». La conséquence pour une fille d’avoir un frère mort est de rechercher son âme soeur et qu’elle ne le trouve jamais…

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  51. Bonjour, personnellement je suis une fille,
    Et j’ai appris il y a quelques années durant une disputes entre mes parents ou j’étais au milieu, que ma mère avais avorté d’un bébé, j’ai eu de suite le sentiment que c’était un garçon, et ma mère aussi, donc elle a avorté de mon petit frère, car elle penser ne pas arriver à l’assumer et a s’occuper de nous deux en même temps(mon père n’étant pas souvent présent),
    J’ai toujours su depuis petite qu’il me manquer quelques choses,ou quelqu’un,
    Peut être une part de moi, je ne sais pas, en tout cas ça m’arrive de penser à lui je me demande comment il aurait était, comment aurait était ma vie avec un frère, je ne vis pas particulièrement mal le fait d’être fille unique mais je me pose quand même la question, c’est comme si une partie de moi était sur la terre et l’autre au ciel, et je n’arrive pas bien a l’accepter des fois…
    Mon rapport avec les hommes a toujours était compliqué j’ai toujours eu beaucoup de mal à leur faire confiance, voilà si vous pouvez m’éclairer sur le sujet, merci d’avance

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    • Vous avez tapé dans le mille. Imaginez votre frère mort à votre gauche, car il est après vous et dites-lui « je vis encore un peu et après j’irai te rejoindre » et imaginez qu’il vous réponde « tu m’honores si tu vis. Je te bénis pour que tu rencontres un homme qui a envie de vivre, car moi, je suis mort. »

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  52. Bonjour,
    Mon frère n’est pas mort physiquement mais a fait le choix de ne plus m’inclure dans sa vie suite à une dispute entre lui et moi (au sujet d’enfants – il en avait 2 à l’époque et m’a annoncé que sa femme en attendait un 3è par accident ; il ne savait pas quoi faire…j’étais en procédure de FIV/PMA à l’époque, sans enfant, et enchainait les échecs, ça a été très dur à encaisser).
    Je dois faire le deuil de notre relation passée (nous étions très proches) mais j’ai du mal à le faire, à lâcher prise, à laisser-aller ; je trouve ça trop dur et tellement dommage. J’oscille entre colère car je trouve injuste qu’il me fasse porter toute la responsabilité de ce qui s’est passé (ils ont décidé d’avorter de ce 3è…avant de finalement refaire un autre enfant quelques mois plus tard) et tristesse, car je trouve que c’est du gâchis. Je suis aujourd’hui mère d’une petite fille grâce à une procédure PMA de don.
    Merci,

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    • Difficile de vous répondre car il n’y a pas de questions. FIV et avortements portent la même dynamique. Vos systèmes personnels sont plus importants que le système d’origine et la relation avec votre frère.

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  53. Bonjour,
    J’ai appris, à la lecture de courriers de mon père à ma mère avant leur mariage, qu’il y avait eu une grossesse. Une fausse couche a manifestement mis un terme à cette grossesse (honteuse vu qu’à l’époque un enfant hors mariage c’était la catastrophe).
    Je comprends donc que je ne suis pas l’aînée de mes parents. Etrange révélation qui me bouleverse mais qui me soulage à un niveau subtil.
    Mes parents se sont mariés un an après cet évènement et je suis née une année encore après. Mon frère (le deuxième officiellement mais qui devient de fait le 3ème) est né 2 ans et demi après.
    Mes parents sont partis au ciel avec leur secret.
    J’aimerais savoir si l’existence de cet enfant avant moi, peu avoir un rapport avec les soucis de santé que j’ai eu dans mon enfance et ensuite. Eczéma sur le corps juste après la naissance ; fragilité aux bronches qui est devenue une maladie chronique des bronches qui m’handicape depuis l’âge d’environ 2 ans ; acouphènes importants et notamment à gauche, eczéma aux oreilles. J’ai eu une phase d’anorexie inexpliquée aussi à 21 ans qui a duré une longue année et dont je suis sortie toute seule comme j’y étais entrée.
    Conflit vie/mort ? Culpabilité ? Réactions physiques à un secret ? Qu’est-ce que le passage de cet enfant dans l’utérus de ma mère, dans la psyché de mes parents à pu laisser comme traces en moi, et ces soucis de santé chroniques en sont-ils l’expression ?
    J’ai souvent pensé que la mélancolie qui a longtemps habité ma vie et ces soucis de santé étaient dus au décès de ma grand-mère paternelle quand j’avais 3 mois de vie intra-utérine. Mais là, l’existence de cette grande soeur (je sens que c’était une fille) joue-t-elle un rôle encore plus primordial dans ma vie ? Et que puis-je faire pour intégrer tout cela et récupérer une meilleure santé, une « pleine vie » ? Merci de vos conseils !

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